Kazimyr Molev [ Fini ]

I. Fiche d'Identitée

Nom : Molev, ce nom est de mon père.

Prénom : Kazimyr.

Emploi : Politicien.

Rang : Joueur.

Âge : 19 ans.

Date de naissance : 14 novembre 1997

II. Biographie

Nationalité : Et si je vous dis que je suis un Russe?

Famille : Mon père, Borislav Molev, est un Russe, comme moi, presque pur à cent pour cent. Tant qu'à ma mère, Eva Krichkine, a du sang russe et du sang latin. Je suis un enfant unique, c'est-à-dire que je n'ai ni soeur, ni de frère.

Histoire : Je naquis dans un berceau d'or, au sens figuré, évidemment. Je n'ai pas été gâté comme les gens nantis, mais mes parents faisaient tout pour que mon bonheur soit complet. Malgré leurs salaires normaux, ils s'étaient donnés une obligation de ne jamais oublier ou perdre leur fils, soit moi, surtout à cause de ma maladie qui m'a empêché de faire pleins de choses dans ma vie. Effectivement, cette maladie m'attaquait constamment mais elle n'était pas à sa plus grande intensité. Comme j'avais des traitements des infirmiers et des médecins, je pouvais continuer à vivre, sans aucune déformation. Je suis touché par l'ostéogenèse imparfaite, c'est-à-dire que mes os sont tous fragiles, et ils craquent constamment. Heureusement, grâce à ceux qui ont prit soin de moi, ils ont réussi à réduire la douleur et les dégâts causés à chaque craquement comme ils le pouvaient, mais cela m'empêchait et m'empêche encore de faire pleins de choses. Je ne peux plus faire de sports où il pourrait y avoir des mouvements brusques, donc, tous les sports, sinon, mes os pourraient casser, casser complètement. C'est horrible, mais j'ai plus de chances que ces orphelins qui n'ont aucun soin contre cette maladie... De plus, cela m'empêchait de faire plusieurs travaux, notamment les travaux de transport, les emplois qui se situaient dans la partie musique et tout ce qui pouvait faire accroître ma douleur. Je suis né avec cette maladie, et je ne risque pas de repartir sans... Passons maintenant à mon enfance.

Bref, comme presque tous les autres enfants de ma ville natale, Bulgarie, à tous les matins de la semaine, j'allais à l'école. Bien entendu, j'étais dispensé des cours d'éducation physique et je devais être suivi constamment par un surveillant ou par un enseignant, au cas où il m'arriverait quelque chose. J'étais toujours surveillé, et cela devenait sérieusement agaçant. Je n'étais pas libre à l'école, et que dire à la maison? Chez moi, c'était presque pire. Comme les emplois étaient limités pour moi, je ne pouvais pas faire ce que je voulais ; guitariste dans un groupe de rock. Bien sûr, je savais que je ne pourrai jamais jouer, et je devais trouver une autre idée. C'est là que le martyr commence. Déjà à l'âge de douze ans, mes parents voulaient, et m'obligeaient à ce que je sois un politicien. Un politicien? Sans vouloir caler ceux-ci, rester dans un bureau à longueur de journée et prendre des décisions, ce n'était pas pour moi. J'avais beau trouver des arguments, mes parents en rajoutaient toujours plus. Imaginez-vous un lavage de cerveau qui dure pendant six longues années. Imaginez-vous, j'avais dix-huit ans et j'étais encore sous les ordres de mon destin de mes parents. À la fin, je me sentais obligé de céder, je n'avais plus rien à redire... et je fus obligé de commencer à choisir mon avenir.

J'avais dix-huit ans, il fallait que je choisisse mon avenir parmi les quelques uns qui me restaient, et rayant tous les métiers que je ne pouvais pas faire, et tous les métiers que mes parents ne voulaient pas que je fasse. À la fin, il ne restait que politicien et homme de société (agent immobilier, professeur...). Ah. Des métiers sérieux. Pourquoi? Je devais décider, je me devais de décider dans quelle école spéciale j'allais continuer, et cela dépendait du métier que je prenais. Je feuilletais les feuilles d'inscription ; mes parents m'avaient amenés pleins de ces formulaires avec chacun un métier différent et une école différente. Le crayon dans la main gauche (oui, je suis gaucher), je posai mon crayon sur la feuille de la politique. Pour moi, à ce moment, politicien allait être un vraiment bon métier. Après les lavages de cerveau incessants, je ne pus que céder et croire que politicien était un métier pour moi. Je remplis la fiche, en envoyant quelques documents sur moi, puis je postai le message. Et il ne me restait qu'à attendre, attendre une réponse positive de l'école en question.

Le grand jour était arrivé, c'était l'hiver de mes dix-huits ans, aussi celui de mes dix-neuf ans. L'enveloppe à la main, je la contemplais avec stress, j'étais nerveux de la réponse. À ces moments, je voulais être un politicien. J'ouvris la lettre, et je vis que la réponse était positive. Je sautai de joie, tout en me dirigeant vers mes parents. Quelques jours après, j'étais en route pour l'école... Et c'est là que tout prit sa forme, c'est là que toute ma vie changea... un changement complexe.

L'automne était commencée, et c'était le temps de retourner en classe. Effectivement, moi, j'allais à l'école spéciale de politique. Le premier jour se passa à merveille, se fut assez relax, et les gens avaient l'air de m'accepter comme j'étais. La politique commençait à prendre une place importante dans ma vie et inconsciemment, j'aimais ce métier. Les semaines, les mois passèrent et mon anniversaire aussi. Tout allait bien, mes notes étaient assez bonnes, et j'avais eu de très bons commentaires de mes enseignants. J'étais sur la bonne voie, la bonne voie de mes parents. Soudain, ma vie changea brusquement, un mois tout rond après ma fête. Cette journée-là, je ne l'ai pas vécu, quelqu'un d'autre l'a vécu à ma place. Je sais que c'est étrange à dire, mais j'étais à mi-inconscient toute la journée. Une fatigue atroce me parcourait l'esprit, mais il fallait que je reste en classe, et écouter le professeur donner des renseignements. On aurait dit que c'était un esprit qui était à l'intérieur de moi... un esprit. Après mon premier cours de la journée, ma vie était finie. Sur mon lit dans le dortoir des garçons, je tombai brusquement dans un sommeil profond... un très long sommeil.

Je me réveillai brusquement le lendemain matin. Il faisait jour et il y avait des arbres partout. Les oiseaux chantonnaient et le vent sifflait discrètement. Je tassai ma main qui était placé sur mon ventre, elle mon bras droit craqua violemment. Je souffrais atrocement, plus que d'habitude. Souffrir... Je ne pus guère me lever qu'une voix se fit entendre : Bienvenue à Bloody Wings. Et je suis arrivé ici, fin de mon histoire.

III. Caractéristiques

Apparence Physique : Voilà. Passons maintenant à mon apparence physique. Tout d'abord, j'ai de longs cheveux de couleur assez étrange (ne vous inquiétez pas, ils ont été teints), il faut le dire. Ils sont d'un vert éclatant, ressemblant à de l'herbe plus terne. Ceux-ci retombent sur mon front d'un teint identique au reste de mon corps, un ton basané, et touchent à peine mes deux yeux marron. Mes yeux à moi, ils sont ronds, vraiment ronds et énormes. On dit que les bébés ont de grands yeux à la naissance, car ils ont un petit visage. Moi, j'ai un grand visage et mes yeux sont béants (bon, au sens figuré, évidemment, ne vous inquiétez pas...), tout simplement. J'ai un visage assez élancé pour mon âge et aucune ride ne le parcourt. Pour ce qui est de mon anatomie au niveau du torse, de légers muscles se dessinent sur mes bras disproportionnés (en effet, depuis mon adolescence, mes bras et mes jambes sont étrangement trop longs comparés au reste de mon organisme. Et que dire de mon cou de girafe!) du reste de mon corps et sur mon ventre ainsi que sur ma poitrine. Pour ce qui est de ma grandeur, je suis extrêmement grand. Je mesure environ 6 pieds 9 pouces, ce qui peut faire peur à certains. De plus, pour cette raison, je souffre encore plus de ma maladie innée (plus je suis grand, plus mes os deviennent longs, plus les craquements sont intenses). Finalement, j'ai de longues cicatrices qui sont dressées sur la majeure partie de mon anatomie, certainement dû à tous ces craquements causés par l'ostéogenèse imparfaite. La plupart du temps, je porte des vêtements simples et dans lesquels je puis me sentir confortable.

Caractère : Maintenant, laissez-moi vous présenter mon caractère. La majeure partie du temps, en fait, toujours à quelques exceptions près, je suis quelqu'un de très sérieux, et c'est difficile de me faire rire. Autrefois, j'étais une personne très souriante et qui aimait la vie (et en profitait au maximum), mais depuis quelques temps, ma maladie s'est aggravée. Et je souffre. Je souffre atrocement. Cependant, je préfère garder le silence sous ces martyres. Il y en qui souffre beaucoup plus que moi, il faut que je l'admette. Je suis extrêmement avare, c'est vrai, et je me dois de l'avouer. Dès que je vois une somme minime d'argent ou ne serait-ce qu'une pièce d'or, je ferai tout pour la dérober. Heureusement, j'ai pu contrôler un peu cette envie et je n'ai pas encore braqué de banques... Cette avarité est aussi intense du côté du pouvoir. J'aime diriger, je contrôlerai la Terre entière. Je suis un homme qui obéit à toutes les règles et les lois au risque de subir une conséquence. Je suis très peureux sur ce côté. Je préfère vivre une vie saine, qu'une vie criminelle. Ce serait un point que j'aimerais changer chez moi. Cela m'a empêché de vivre des tonnes d'événements. Pour cette raison, je suis aussi très naïf. Je peux croire presque tout si cela a un minimum de sens. On me dit que je suis quelqu'un qui exagère tout au sens près. Les gens disent que mes yeux ne sont pas si grands, mais je sais qu'ils sont énormes. Vous avez certainement pu le remarquer chez moi... Je suis impatient, impatient et impatient. Quand il faut attendre beaucoup, je deviens irritable et je me fâche facilement. On me dit aussi que je suis un être intelligent et j'excellais assez bien à l'école. Je suis fier de moi et étant quelqu'un de modeste, j'accepte les compliments discrètement. C'est tout sur moi, tout sur ma vie.

IV. Autres

Rêve, Ambition : Je souhaite que cette maladie atroce disparaisse de mon corps. C'est mon plus cher rêve. Je voudrais aussi retourner dans mon ancienne vie, et continuer la politique. Je sais que c'est étrange, mais ici, c'est l'enfer sur Terre...

Cauchemar, Phobies : Que ma maladie s'aggrave...

Code : Effectivement.

V. Facultatifs

Signes particuliers : J'ai plusieurs cicatrices dans mon dos, dû à l'ostéogenèse imparfaite qui a causé quelques déformations subtiles.

VI. Hors Jeu

Comment avez-vous connu le forum ? : Je suis Markus! ^^