Bloody Wings
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Lorsque la chute commence, toute tentative est vaine. Il faut se résigner à subir le pire.
 
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 *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...]

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Iavlina Vassilovitch
Bout de chou Sanguinaire
Iavlina Vassilovitch


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Pensée du jour : La vie est une maladie sexuellement transmissble, et, qui plus est, fatalement mortelle...
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MessageSujet: *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...]   *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...] Icon_minitimeDim 18 Mai - 14:40



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*W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...] Fille587zl7 ~~~~*~~~~ *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...] Zyyzzzdp8 ~~~~*~~~~ *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...] Fille059ht1

"La vie est une maladie sexuellement transmissible, et, qui plus est, potentiellement mortelle . . ."






I. Carte d'Identité



  • Nom :

    Vassilovitch

  • Prénom :

    Iavlina. Si on traduit en français, ça donne quelque chose comme « venue dans ce monde »

  • Emploi :

    Comment une gosse comme moi pourrait avoir un emploi ? Enfin, s’il faut vraiment dire quelque chose, on peut dire que je suis fille d’un mafieux russe.

  • Rang :

    Joueuse

  • Âge :

    J’ai dix ans. Enfin, en apparence.


    • Date de naissance :

      Je suis née en hiver, à Moscou. Je crois que c’était le 10 Janvier, ou quelque chose du genre.




II. Biographie


  • Nationalité :

    Russe.

  • Famille :

    J’ai un père et une mère, comme tout le monde. Ma mère ne fait rien de ses journées. C’est une « femme au foyer ». Mais je la qualifierai plutôt de « femme à rien faire ». Je le sais depuis ma naissance. C’est une incapable.
    Mon père est l’un des grands chefs de la mafia russe. Je l’ai toujours trouvé pathétique. La valeur fondamentale qu’il défend, c’est la famille, et pourtant, il n’est pratiquement jamais avec nous. Je le déteste. Même si lui, il est fou de moi…
    J’ai deux frères. L’un a treize ans, l’autre dix-huit. Mais ce sont des gamins. Ils n’ont jamais osé me parler face à face sans mentir. Je sais qu’ils me haïssent, tout comme je les hais. Cependant, ils font semblant de m’aimer… C’est pitoyable. Ils ont peur de moi. Ils ont toujours eu peur de moi.

  • Histoire :

    Je ne suis pas comme les autres. Je l’ai toujours su. Je leur suis bien supérieure, sur tous les points. Par exemple, moi, je me souviens de tout. Même du moment de ma naissance. Je me rappelle chaque détail précisément. D’abord, la lumière crûe de ces lampes d’hôpital, la lumière qui vous transperce les yeux. Enfin, le cœur qui commence à battre de lui-même. Respirer la première fois, ça fait mal. Il paraît même que tous les bébés pleurent. En tout cas, moi, je n’ai pas pleuré. J’ai regardé autour de moi. Et puis, j’ai reconstitué ce qui s’était passé. La femme qui me tenait dans ses bras. J’étais sortie d’elle. Il devait y avoir un lien qui nous unissait. L’homme qui se tenait à côté d’elle et qui lui caressait les cheveux…La aussi, un lien. Une relation. Cet homme et cette femme étaient donc liés. Entre eux, et avec moi. J’entendais des bruits. Ils sortaient de la femme et l’homme par un orifice. Ils bougeaient les extrémités de cet orifice, et un son en sortait. Quelque chose pour communiquer… J’allais en avoir besoin, moi aussi. Il fallait donc que j’apprenne dès maintenant.

    A un an et demi, je savais déjà parler. Mais jamais je ne le faisais. Je savais très bien que ces cloportes ne comprendraient pas. Normalement, je devais commencer à parler un an plus tard. Enfin, comme je l’ai dit, je ne suis pas normale. Heureusement. Je commençais déjà à détester mes frères à cette époque. Au début, j’avais pensé qu’ils me guideraient et m’aideraient à comprendre ce monde. Mais ils étaient tellement ignorants… C’était à moi de leur expliquer les choses… Enfin, quand j’avais un an, je ne disais rien. Je constatais. Et puis, dès que j’ai commencé à parler à l’âge « normal », j’ai essayé de leur expliquer. Mais ils n’ont rien voulut entendre. « Trop intelligente pour son âge ». C’était ce qu’ils disaient. Alors, j’ai laissé tomber. Ignorants. Incapables. A cette époque, on vivait encore à Moscou, dans le quartier le plus riche de la ville. On avait un immeuble gigantesque et luxueux rien qu’à nous. Et oui, la vente de drogues, d’armes à feux, et la prostitution, ça rapporte. Je l’ai compris à quatre ans. Je l’ai découvert en lisant les livres de notre bibliothèque. Evidemment, je savais lire. Rien de plus simple. J’ai réussis à lire les trois quarts des livres de la bibliothèque. Bien sûr, certains étaient plus difficiles que d’autres. Mais après deux ou trois lectures, j’arrivais à en saisir le sens. C’est là que j’ai découvert que les humains étaient des cloportes. Et que j’ai commencé à les détester.

    A mes cinq ans, on a déménagé à Londres. L’homme qui me servait de père pensait faire plus d’argent là-bas. Comme si on n’en avait pas assez… Il me dégoûtait. L’avidité en personne. Enfin, la seule chose qui m’arrangeait avec lui, c’était qu’il m’offrait tout ce que je voulais. Un jour, j’ai demandé un doberman. Sa réponse ? « Oui, oui, pas de problème, ma chérie. » Le lendemain, je l’avais. Je l’ai appelé Aleksandr. Ca veut dire guerrier, ou défendre. J’avais compris que dans la vie, une fillette de quelques années ne pouvait pas se défendre toute seule. Bizarrement, je me suis très bien entendue avec lui. En tout cas, je le trouvais bien plus intelligent que les humains. C’est le seul être que je respecte.

    Mes incapables de frères ont pleuré quand on a quitté Moscou. Pitoyables. Plus je les voyais, plus ils me dégoûtaient. Enfin, c’était comme mon père et ma mère. Ah, ma mère. Un seul adjectif pourrait la qualifier: inutile. Je me demande pourquoi elle est née. Elle ne sert à rien, à part à faire jolie et à utiliser l’argent que rapporte mon père. Londres n’a pas vraiment changé de Moscou. J’ai continué à m’informer sur la race stérile des humains avec les livres. Je suis allée à l’école, mais je savais déjà tout… J’ai aussi commencé à faire du sport. Encore une bêtise inventée par l’humain pour mesurer sa force. Comme s’il n’y avait que ça, dans la vie. J’étais très forte en course. Et oui, j’ai peut-être les petites jambes, je suis très rapide. Mais ça m’a vite lassé. Courir comme ça, sans but précis, il n’y avait bien que la bêtise humaine pour inventer ça. J’ai réussis à tenir jusqu’à l’âge de neuf ans. Je suivais bien sagement les cours, en faisant attention à ce que mes incapables de parents ne découvrent pas mon génie, je courrais quand on me disait de courir, j’écoutais en classe… Mais cette stupide mascarade a finalement réussit à m’exaspérer. Je suis partie à l’âge de neuf ans et demi. J’avais besoin de changer d’atmosphère. Aleksandr m’a suivit. Lui seul me comprenait. J’ai tout organisé pour que mes parents et mes frères ne puissent pas me retrouver. Mais une fois dehors, j’ai compris que les humains étaient tous les mêmes, bêtes et totalement ignorants.

    J’avais pris tout l’argent que mon père avait déposé sur mon compte personnel et que j’avais économisé pour le départ. Il y avait environ deux cent milles livres. Bon, c’était assez pour que je vive correctement pendant un temps. Environ huit mois. Mais je savais qu’il faudrait que je trouve un travail après. Et que pour avoir ce travail, je devrais garder assez d’argent pour offrir un pot-de-vin à mon employeur. Et oui, une petite fille de neuf ans, on ne l’engage que si on reçoit une somme d’argent conséquente en échange. Enfin, je pouvais m’en préoccuper un peu plus tard. J’ai trouvé un hôtel pas très cher. Heureusement, le patron qui bossait là ne m’a pas posé de questions. J’avais compris le mécanisme essentiel de ce monde : tu payes, on te laisse tranquille. Aleksandr restait avec moi, moyennant une légère somme d’argent. Grâce à lui, j’ai pu me promener dans la rue sans avoir peur de tous ces immondes cafards qui ne pensaient qu’à voler, ou même violer. C’est à cette époque là que j’ai commencé à fumer. C’était tout simple. J’ai voulut essayer, ça m’a plut, et j’ai continué. Bon, je sais très bien que ça réduit considérablement mon espérance de vie, mais moi, je n’ai pas peur de la mort, comme ces blattes d’humains.

    Je me suis transformée, pour que les enquêteurs engagés par mon père de me retrouvent pas. J’ai teint mes cheveux en blancs, je les ai laissé pousser. J’ai mis des lentilles rouges. J’ai complètement changé de style vestimentaire. J’ai troqué mon nom russe contre un pseudonyme anglais. Personne ne pouvait me reconnaître. Tout était parfait… Jusqu’à mes dix ans, tout c’est bien passé. J’ai continué à étudier le genre humain, même si plus je découvrais de choses dessus, plus il me dégoûtait. J’ai appris à Aleksandr à se battre et à attaquer au moindre mouvement suspect d’un individu. Heureusement, il apprenait beaucoup plus vite que les hommes. Mais bon, je me suis vite lassée. Il fallait que je trouve quelque chose à faire… C’est là que j’ai commencé à organiser mon premier meurtre. Je ne sais pas comment ça m’a pris. Un jour, l’idée m’a plu. Ma cible? Une espèce de richton qui traînait souvent dans le quartier des prostituées. Bien sûr, je n’y suis pas allé comme ça. Tout d’abord, je me suis déguisée en garçon, pour être sûre qu’on ne me reconnaisse pas. Puis, pendant deux semaines, je l’ai suivi discrètement, histoire de connaître ses habitudes, en laissant Aleksandr à l’hôtel, pour éviter qu’on me soupçonne à cause de lui. Ensuite, ça a été facile. Je lui ai fait croire que j’avais volé son portefeuille (j’avais vu de quelle marque il était, et j’en avais acheté un exactement pareil). Il a voulut le reprendre, et m’a courut après en criant désespérément « Au voleur ! », comme s’il n’était pas capable de m’attraper lui-même. Mais j’avais bien choisit le lieu : il n’y avait personne dans ces rues. Il a donc essayé de me rattraper. Mais cet ignorant ne savait pas que je courais bien plus vite que la plupart des gens. Je l’ai emmené dans une impasse, et arrivée au mur, je me suis arrêtée. Il s’est précipité vers moi. Au dernier moment, j’ai esquivé. Ce richard a continué sur sa lancé… et il s’est empalé sur une fourche, au niveau du cœur. C’était moi qui avait préparé ce stratagème : le mur de l’impasse était en bois. Il avait été simple de le percer et d’y introduire la fourche. Evidemment, j’avais fait tout ça avec des gants, pour ne pas qu’on ai mes empreintes. Et voilà comment j’ai tué quelqu’un. Simple, mais efficace. On n’a pas retrouvé l’assassin, et l’enquête a finie par être abandonnée.

    J’ai continué à tuer par-ci, par-là, quand l’envie me prenait. Mais je ne laissais jamais aucune trace. Je ne suis pas aussi incompétente que ses immondes larves. Et pourtant, depuis un certain temps, je me sentais comme observée. J’avais l’impression qu’on gardait un œil sur moi. Je suis restée sur mes gardes. Peut-être que les enquêteurs engagés par mon père m’avaient retrouvé ? Mais j’en doutais.

    Vint le moment où j’avais utilisé tout mon argent. Enfin, il me restait dix milles livres. Mais ça, je les gardais pour le pot-de-vin. Ah… J’allais devoir travailler, maintenant. C’était le seul moyen pour arriver à gagner de l’argent, ou du moins assez pour survivre. Mais apparemment, quelqu’un d’autre avait prévu un destin différent de celui que je m’étais choisit. C’est arrivé très vite. Je marchais dans la rue avec Aleksandr, quand deux espèces d’énormes malabars m’ont prit en sandwich tandis qu'un troisième assomait mon doberman. L’un deux m’a murmuré de les suivre et de ne pas m’échapper. Pff… Si je n’avais pas ce corps petit et chétif, je les aurais bien écrasé, ces blattes. Je les ai suivies, évidemment. Ils m’ont amené dans une grande limousine noire, m’ont fait rentré, et ont balancé Aleksandr dedans, comme si c'était un simple sac de sable. Puis, sans un mot, m’ont donné un verre. Ils avaient autant peur d’une fillette de neuf ans qu’ils en venaient à lui donner un somnifère ? Bon, je n’ai pas fait d’histoires, et j’ai bu leur sale truc. Allez, c’est parti… Fais de beaux rêves, ma petite Iavlina…




Dernière édition par Iavlina Vassilovitch le Dim 18 Mai - 16:56, édité 1 fois
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Iavlina Vassilovitch
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MessageSujet: Re: *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...]   *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...] Icon_minitimeDim 18 Mai - 14:46

III. Caractéristiques



  • Apparence Physique :

    Ha, ha. Vous voulez savoir à quoi je ressemble ? Je vois pas vraiment ce que ça va vous rapporter, mais soit, je vais me décrire un peu. Déjà, j’ai décidé de ne pas ressembler à tous ces cloportes d’humains. Ils n’en valent pas la peine… Alors, normalement, avant ma « transformation », je devais plutôt ressembler à ça : une petite fille, aux cheveux blonds platines et coupés très courts, presque une coupe à la garçonne (avec deux frères, le coiffeur était plutôt branché coupes masculines, quelle larve, celui-là), deux beaux yeux bleus… En fait, je ressemblais plutôt à la russe typique… Comme mon père, ma mère, et mes deux frères… J’étais de petite taille (enfin, j’ai toujours été de petite taille), et, d’après ma mère, j’étais « maigre ». Mais je n’ai jamais voulu ressembler à cette grosse vache… C’est pourquoi je fais très attention à ma ligne, et que je fais tout pour rester « maigre ». Donc, en résumé, avant, j’étais une gamine typique des pays nordiques, petite et mince. Depuis mon changement de look, seuls quelques traits sont restés : la petite taille et la minceur. Mais sinon, j’ai complètement changé. Déjà, je me suis laissé pousser les cheveux : je le voulais depuis longtemps. Et puis, j’ai décidé de les teindre en blanc. Un blanc parfait, immaculé. C’est la seule couleur que je trouve potable. Du moins, sur mes cheveux. Ensuite, j’ai mis des lentilles de couleur. Une couleur assez spéciale : un violet tirant sur le rouge. En fait, ça dépend du point de vue où l’on regarde mes yeux : parfois ils sont violets, d’autre fois, rouges. J’adore ça, cette incertitude. Ca déstabilise la plupart de ces cafards d’humains. Ensuite, mon style vestimentaire : au début, des petites robes à fleurs (horribles, je dois dire) que ma mère m’obligeait à porter. Et puis, lorsque j’ai changé, je suis passé à autre chose. Bizarrement, j’ai gardé les robes. Mais attention, plus question de porter des fleurs… J’ai pris le style robe de vampire: robe noire à dentelle, qui se partage en deux au niveau des cuisses. Evidemment, j’ai mis une autre robe blanche en dessous, qui se voit là où l’autre robe se fend en deux, et qui remplit le décolleté. Ensuite, j’ai décidé de faire simple : un bandeau en dentelle noire dans les cheveux, et un ras du cou, lui aussi noir. En fait, je dois ressembler à une sorte de vampire. Tant mieux. Une apparence inquiétante repousse la plupart des cafards gênants. En plus, mon chien, Aleksandr, me suit tout le temps. Pas besoin de le décrire : il est comme tout les dobermans. La seule chose à savoir est qu’il est très méchant quand je le veux. Enfin, un autre petit détail quasiment insignifiant: j’ai souvent une cigarette à la bouche. Tout le monde me regarde, mais ça, je m’en fiche complètement. L'éclat de mes yeux est aussi l'une des chose les plus excécrables de mon être: je ne peux pas m’empêcher de regarder ces inutiles humains d’un regard de dégoût, un dégoût froid, sans aucune compatie. Je les déteste, et je ne le cache pas.


  • Caractère :

    Alors là, ça ne va pas être difficile de définir mon caractère, même s’il est plus complexe qu’à première vue. Tout d’abord ; la chose essentielle à savoir sur moi, c’est que je hais les humains. Ils sont absolument pathétiques, complètement abrutis, et définitivement inutiles, voir nuisibles. Bien sûr, je sais très bien au fond de moi que je suis une humaine comme eux, mais je ne peux pas supporter cette idée. Ils sont tellement imbéciles… Non, décidemment, je ne fais pas partie de cette race de larves… Pour moi, tous les hommes sont au dessous des animaux et des plantes, et comme vous pouvez le voir, je les mets plutôt au rang de blattes ou de cafards. C’est leur place. Quand on me voit, on dit souvent que je suis une sale gosse arrogante. Mais c’est faux : je suis juste plus mûre dans ma tête. Enfin, c’est vrai, je suis un peu narcissique. Mais jamais je ne le reconnaîtrais. Je m’estime trop pour ça. Je suis très intelligente, ça, vous l’avez sûrement remarqué. Je suis, comme qui dirait un génie. Mais moi, ça ne me dérange absolument pas. Je l’ai toujours su. Je suis au dessus des autres. Pour moi, les autres sont des cloportes que je peux écraser très facilement. En fait, j’ai l’impression d’avoir l’esprit d’une femme d’une vingtaine d’année enfermée dans le corps d’une fillette de dix ans… Une qualité que j’adore chez moi, mais que tout le monde déteste, c’est ma franchise. Je peux dire à un mec de quarante ans baraqué que c’est un cafard. De toute façon, la plupart des gens n’osent pas frapper une pauvre petite fille sans défense… Pathétique. De plus, comme je suis une fille qui vient de Russie, un pays extrêmement froid, je peux être extrêmement glaciale. Et, comme une sale gosse qui se respecte, j’ai un caractère de cochon. En plus, si je suis dans mes mauvais jours, mieux vaut me laisser tranquille… Sinon vous risquez de vous prendre une avalanche d’insultes à la figure pour rien… En fait, je suis une grande incomprise… Tout le monde pense que je suis une pauvre fillette… Et bien non, mauvaise pioche. Je suis tout sauf ça. Et j’essaye de le montrer : je fume devant tout le monde, sans honte, et je bois comme un trou. Ah, boire, ma grande passion. J’adore l’alcool. Je serai peut-être même un peu alcoolomane sur les bords… Mon alcool préféré ? La vodka, évidemment, je suis quand même une Russe qui se respecte. Mais, même si je suis très intelligente, il peut m’arriver (pas très souvent) que je sois immature. Un exemple ? Si je veux une chose, il me la faut absolument. Mais je ne vais pas, comme tous ces sales gosses, demander à papa-maman de m’acheter ce que je veux… Non, je me débrouille, j’essaye par tous les moyens possible d’acquérir ce que je veux, et je l’obtient la plupart du temps. Ah, encore une chose : je ne peux pas supporter de m’ennuyer. Il faut toujours que je trouve quelque chose à faire dès que la lassitude arrive. Enfin, je n’ai aucun respect pour la vie de ces cafards d'humains : les tuer ne m’ennuient pas le moins du monde, et ça m’arrange, au contraire. Ca me permet de faire un peu de balayage, de temps en temps.



IV. Autres



  • Rêve, Ambition :

    Mon plus cher rêve ? Que les humains deviennent enfin intelligents. Peut-être que là, je ne les considèrerait pas comme des cafards. Et mon plus gros fantasme, c’est de me retrouver seule dans une fabrique de vodka…

  • Cauchemar, Phobies :

    Ma phobie ? Devenir comme un des ces cafards d’humains, évidemment, et peut-être perdre Aleksandr… et ma fierté légendaire.

  • Code :

    Spoiler:


V. Facultatifs



  • Signes particuliers :

    Une gosse qui boit et fume, c’est déjà assez particulier… Et puis, les yeux rouges (ou violets, ça dépend de quel côté on les regarde), c’est pas banal non plus.


VI. Hors Jeu



  • Comment avez-vous connu le forum ? :

    Par un top- site Very Happy

  • Que pensez vous du contexte du forum ?:

    Qu’un mot à dire : j’adoooooore *o* Tout est très bien imaginé (et bien écrit en plus de ça ^^)… <3
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Lili
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Lili


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MessageSujet: Re: *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...]   *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...] Icon_minitimeMar 20 Mai - 18:20

    Validée. Fiche très bine écrite & perosnnage intéressant... XP En tout cas je l'aime bien, même si elle est un peu psychopathe sur les bords ^^ Bon jeu
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MessageSujet: Re: *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...]   *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...] Icon_minitime

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