Hana, petite fleur impartiale

I. Carte d'Identité

Nom : Akuma
Prénom : Hana, Sayuri, Sakura
Emploi : Préfet
Rang : Joueur
Âge : 23 ans
- Date de naissance : 14 mai

II. Biographie

Nationalité : Japonaise de « sang », Française de « terre »
Famille : Parents qui vivent dans le sud-ouest de la France, Grands-parents vivant au Japon, petite sœur morte à la naissance, pas d’oncle ou de tante connus.
Histoire : Un petit dojo était perdu dans les premiers contreforts des Pyrénées. Deux jeunes gens, tout deux d’origine japonaise s’en occupait et y enseignait. De toute la région, ils étaient les meilleurs dans leur domaine. Ainsi, la douce et petite Megumi excellait dans l’art du kendo et du judo et son mari, Soichiro excellait au karaté et à l’aïkido. Ils s’aimaient profondément et désirait plus que tout fonder une famille heureuse, alors, tout deux à peine âgés d’une vingtaine d’année décidèrent d’avoir un enfant.
Un peu plus d’un an plus tard, naissait Hana. De sa mère, elle avait hérité ses longs cheveux de jais qui faisait la fierté de ses parents et de son père elle avait hérité sa peau si pâle. A sa naissance, ses parents furent tout d’abord étonnés car le bébé ne criait pas. Du moins, bien moins que les autres bébés et de plus, pour une jeune japonaise, Hana avait les yeux bleus. Pas noir comme Megumi ou Soichiro, pas noir non plus comme ses grands-parents et ses arrière-grands-parents mais bels et bien bleus. Et quel bleu ! Un bleu marine pareil à l’océan Atlantique à une centaine de kilomètre de là. Dans la famille, on n’avait jamais vu ça, on avait toujours eu les yeux noirs ou proches de noir… Mais rien ne pouvait diminuer la joie de la famille Akuma, ni les yeux bleus d’Hana, ni sa petite taille, ni son manque d’expression. Elle était leur premier enfant et elle le resterait toujours.

« Je serai la princesse !
- Moi je serai le chevalier
- Et moi je serai le magicien
- Il nous faut une sorcière ! »

Six paires d’yeux se tournèrent vers la frêle silhouette blanche assise à côté de la fenêtre, un livre illustré entre les mains, les sourcils froncés. Une petite fille quitta le groupe et décida de s’en approcher, en demandant timidement :

« Hana, tu veux bien jouer avec nous et faire la vilaine sorcière ? »

L’enfant aux longs cheveux noirs et aux yeux couleur océan leva la tête de son livre et observa la personne qui lui parlait. Elle se contenta de hocher négativement la tête et elle reporta son attention sur son livre, suivant les mots avec convoitise.
La petite fille se tourna vers les autres enfants et fit un signe de tête négatif avant de les rejoindre, tête basse.

« Ca ne sert à rien de lui demander, elle ne joue jamais avec nous… Elle ne joue jamais avec personne d’ailleurs… Elle n’est pas comme nous. »

Hana avait entendu ce murmure de la part d’un des garçons de la bande mais elle n’en était pas blessée. Certes, elle était différente déjà de part ses origines et son physique mais aussi de part son caractère. Elle avait à peine cinq ans, qu’elle savait déjà lire, enfin un peu, et qu’elle réfléchissait comme une adulte. Elle jouait rarement avec les autres, préférant rester seule dans son coin avec ces livres dont elle ne saisissait que quelques lettres, quelques mots, s’aidant des images pour comprendre, mais ce n’était pas facile car elle devait se débrouiller seule pour apprendre, ses parents ne sachant pas comment lui apprendre à lire et ayant d’autres préoccupations, sa maitresse ne cessait de lui répéter qu’elle était trop jeune lorsqu’elle venait lui demander et les « grands, ceux de l’école primaire, ne s’intéressait pas à elle.
Alors, les mots et les lettres restaient des caractères mystérieux et indéchiffrables, comme un puzzle incomplet qu’elle ne pouvait pas reconstituer sans une aide extérieure.
Relevant la tête de son livre, elle regarda la bande des six enfants et croisa le regard de la petite fille qui lui avait demandé de venir jouer avec eux. De tous les élèves de cette classe, elle était la seule avec qui Hana avait envie de devenir amie. Tout comme elle, elle n’était pas d’origine française ; sa peau était brune, presque noire et ses yeux noisette exprimaient beaucoup de chaleur et de douceur. Elle avait de longs cheveux noirs tressés en nattes africaines et elle souriait souvent, s’entendant avec toutes les personnes de la classe. Elle s’appelait Ghalyela et tout comme son prénom, elle était précieuse aux yeux d’Hana.
Très vite, elle devint sa meilleure amie et elle grandirent ensemble, allant de classe en classe se découvrant un peu plus chaque jour, se connaissant de mieux en mieux, s’apprenant par cœur.

Lorsqu’Hana était chez elle, elle apprenait les arts martiaux, ces parents étant des spécialistes, ils lui donnaient des cours particuliers. Elle avait d’excellentes capacités naturelles pour les sports de combat et progressait avec régularité dans tous les domaines auxquels elle s’attelait sérieusement. En plus du judo, du kendo, de l’aïkido et du karaté, Hana décida de faire du tir à l’arc, du cheval, de la gym et de la natation.
A mesure qu’elle grandissait et progressait on lui faisait de plus en plus d’éloges mais elle restait toujours avec Ghalyela. Elle était une élève « polyvalente », aussi douée en sport que dans les matières demandant plus d’esprit mais on la sentait toujours très solitaire, seule Ghal semblait avoir accès à son jardin secret. Mais ses parents ne s’inquiétaient pas et elle grandissait entourée d’amour et d’amitié, de solitude et de paix, un monde comme il lui fallait.

« Maman va bientôt accoucher, je me demande si c’est une petite fille ou un petit garçon
- Tu préfèrerais quoi ?
- Une petite sœur pour pouvoir jouer à la poupée avec elle
- Alors ce sera une fille ! »

Hana regarda son amie et celle-ci lui fit son sourire numéro trois : le sourire énigmatique ; elle lui sourit en retour et regarda les hautes falaises un peu plus loin, ses jambes battant l’air dans le vide. Les deux fillettes, toutes deux âgées de huit ans, passait leur temps libre dans cet endroit qu’elles partageaient secrètement et où elles venaient se réfugier en cas de coup dur. De grandes pierres blanches semblaient veiller là, à ce que les habitants de la plaine où on les avait entreposés, puissent avoir une barrière entre le monde des Hommes et leur monde, plus sauvage. Les eux filles aimaient beaucoup cette frontière, s’imaginant plus créatures sauvages que petites filles modèles.

« Papa l’a emmenée à la maternité tout à l’heure.
- Je sais, c’est pour ça que tu dors à la maison ce soir.
- Je suis contente. Demain je verrai ma petite sœur comme ça.
- Oui, mes parents nous emmènerons toutes les deux.
- Comme j’ai hâte ! »

Et Hana eut un petit éclat de rire avant de reprendre un peu de son sérieux. Au loin, le soleil avait commencé sa course lente pour rattraper la lune, il fallait qu’elles rentrent. Se prenant par la main, comme deux amantes, elles sautèrent au bas de leur rocher et partir dans une course folle dans la direction de la maison des parents de Ghalyela.

« Je suis désolée, nous n’avons pas pu sauver l’enfant… »

Hana n’avait pas comprit en entendant ces mots, elle ne pensait pas qu’ils s’adressaient à ses parents. Ce n’est que quand elle vit sa mère, fatiguée, et son père lui tenant la main, pleurer ensemble, qu’elle avait compris. Elle n’allait pas avoir de petite sœur, ni même un petit bout de petit frère… Il n’avait pas ouvert les yeux que déjà la vie quittait son corps de bébé… Elle était triste, elle attendait avec tant d’empressement cette naissance ! Adieu les poupées partagées avec sa petite sœur, adieu les voitures empruntées à son petit frère. Pas de bataille de peluches non plus… Plus rien qu’un grand vide et une profonde tristesse.

« Il faut la laisser se reposer à présent »

La main de Ghalyela était venue se loger dans la sienne et Hana pleurait sur l’épaule de son amie, aussi triste que ses parents. Elle avait espérer tellement durant ces neufs mois ! Et tout s’effondrait.
La mère de son amie vint les chercher un peu plus tard. Elle s’agenouilla devant Hana et posa une main aux longs doigts noirs sur la jambe si blanche de la jeune asiatique.

« Tu vas rester encore quelques jours chez nous. Tes parents ne vont pas rentrer tout de suite à la maison. »

Elle s’était contenter d’un petit signe de tête affirmative, des larmes recommençant à couler sur ses joues alors qu’elle se mordait la lèvre inférieure.

« Ne t’inquiète pas, tout ira bien, je resterai toujours avec toi, je te le promets. » lui avait alors murmuré Ghalyela en l’entrainant à la suite de ses parents pour rentrer chez eux.

C’était une belle journée de septembre, ni trop chaude ni trop froide, ensoleillée juste ce qu’il fallait, parfaite pour une rentrée des classes, pour un nouveau départ. Hana et Ghalyela venait d’entrée au collège et de nouveau, elles se retrouvaient ensemble dans la même classe. Heureuses, les deux filles avait passé la journée ensemble, sans se préoccuper des autres. Mais Hana savait que dès le lendemain, Ghalyela se lierait d’amitié avec d’autres élèves de la classe voir du collège, elle était come ça, elle attirait les gens comme un aimant attire le fer. Mais Hana n’était pas jalouse car elle savait que peu importe le nombre, elle resterait toujours la première dans le cœur de son amie. Alors, comme elle le faisait depuis des années, elle prendrait un livre bien trop difficile pour elle, elle lirait dans son coin et elle attendrait que la grande noire vienne la retrouver pour lui sourire et lui parler encore et toujours de ces sujets si passionnant dont elle avait le secret. C’était un rituel qui avait lieu chaque année à la rentrée des classes, la belle fleur pâle et solitaire et l’oiseau noire et chaleureux… A elle deux, elle formait un duo de choc, elles étaient à la fois tellement proche et tellement différentes ! On avait du mal à les cerner la plupart du temps.
Et ce bonheur durait depuis des années, avec ses joies et ses peines. Il ne pouvait exister une fille plus heureuse qu’Hana.
Et la jeune fille ne se serait jamais douté que leur relation allait devenir plus qu’amicale. A force de trop s’apprécier, on finit toujours par trop s’aimer et la jeune japonaise ne tarda pas à le comprendre mais elle ne savait comment annoncer à son amie, pourtant si tolérante, l’attirance qu’elle éprouvait pour elle.
Elles étaient en troisième, à l’âge où on ne sait pas trop où on en est, ce que l’on veut faire ou devenir. Bien sur, elle avait déjà eut plusieurs petits amis mais ça n’avait jamais duré car elle était bien trop sauvage pour eux. Mais dans le cas de Ghalyela, la situation était plus délicate. D’abord, parce que c’était une fille, ensuite parce qu’elle était une amie de très longue date… Et Hana ne voulait à aucun prix briser cette amitié…

« Que t’arrive-t-il ? Depuis le milieu de notre troisième, je te trouve de plus en plus dépressive… »

Assises sur l’un des bancs de pierre du lycée, sous un ciel gris et nuageux, les deux jeunes filles prenaient le vent, un vent doux pour une après midi d’automne. Hana regarda son amie, son regard légèrement troublé puis elle détourna les yeux, fixant un point au sol, entre ses pieds. Elle soupira. Depuis qu’elle avait comprit la vraie nature de ses sentiments pour son amie, elle ne se sentait plus la même. Il était difficile pour elle d’accepter ses sentiments mais plus le temps passait et plus ça lui faisait mal de les garder pour elle. Elle en était à un point ou elle avait sans cesse Ghalyela dans la tête, n’arrivant plus à se concentrer sur ses cours, ses moyennes chutant catastrophiquement. Oui, elle allait mal, mais elle ne pouvait en parler à son amie.
Elle esquissa un petit sourire et fit un signe de tête négatif.

« Je vais bien, tu te fais des idée Ga_chan ! »

Mais la jeune noire n’était pas dupe, depuis onze ans qu’elle se connaissait, elle savait très bien quand Hana allait mal et même si celle-ci cachait ses doutes et ses malheurs derrière un faux sourire, elle avait très bien comprit que rien n’allait plus en ce moment.

« Tu ne m’as rien caché jusqu’à aujourd’hui, pourquoi me mens-tu ainsi ? »

Elle arriva enfin à plonger ses yeux noisette dans l’océan qu’étaient ceux d’Hana mais elle ne put y lire que de la douleur, une douleur sourde et inexplicable. Elle la prit alors dans son bras.

« Est-ce une chose si terrible que même moi je ne puisse pas savoir ?
- Non, mais j’ai peur de t’en parler, j’ai peur de ta réaction.
- Allons Hana, on se connaît mieux que deux sœur jumelle, tu sais très bien que tu peux tout me dire !
- …
- Tu ne veux pas en parler ici ?
- C’est délicat, je préférerais qu’on se donne rendez-vous dans notre jardin secret.
- Pas de problème, ce soir à 21h, ça te va ?
- Oui, c’est parfait… »

Ainsi engagée, elle n’avait plus d’autre choix que de se préparer psychologiquement à faire ses aveux et à déclarer ses sentiments…
Elles avaient toutes deux finies les cours et elles décidèrent de se quitter jusqu’à l’heure du rendez-vous. Une fois chez elle, Hana fit ses exercices journaliers : assouplissements, divers katas, étirement et quelques mouvements servant dans les prises qu’elle connaissait par cœur. Mais elle n’arrivait pas à se concentrer dessus et elle décida d’y mettre un terme plus rapidement que prévu. Ses parents avait encore deux heures de leçon à dispenser, il ne ferait pas attention à elle avant cet horaire là, elle avait donc de la marge.
Depuis quand n’ai-je pas ressenti ça ? pensa-t-elle en regagnant sa chambre.
Elle s’affala sur son lit en fixant son plafond blanc. Tout de suite, ses pensées chavirèrent vers Ghalyela et l’heure du rendez-vous fut plus vite là qu’elle ne l’aurait cru…

« Alors, Hana, maintenant, puis-je savoir pourquoi mon amie va si mal ?
- Tu promets que tu ne te moqueras pas et que tu ne me fuiras pas ?
- Je ne vois pas pourquoi je te fuirais !! C’est vexant.
- Excuse-moi mais j’ai si peur de ta réaction…
- Ne t’inquiète pas, on ne ruine pas onze ans d’amitié en quelques mots ! »

Hana ne répondit pas et regarda son amie, droit dans les yeux. Elle déglutit et soupira, regardant les silhouettes sombres auxquelles ressemblaient les falaises. Il y eut quelques minutes silence puis un nouveau soupir vint mettre fin à cet étrange gêne qu’elle ressentait.

« Voilà, Ga_chan… Je… Je t’aime ! »

Elle avait jeté ça, presque crié, tellement les mots avaient eut du mal à sortir. De peur, elle avait fermé les yeux et elle s’attendait à tout moment à entendre le froissement de vêtements de son amie qui s’en allait mais rien. Si, elle sentit quelqu’un la prendre dans ses bras pour la rassurer.

« Si c’était pour ça que tu t’en faisais autant, tu n’aurais pas dut… Je ne vais pas te rejeter juste parce que tu éprouves ce genre de sentiments à mon égard. »

Elle n’aurait jamais pensée recevoir autant de gentillesse et de délicatesse d’un coup et les larmes la submergèrent rapidement.

« Et puis tu sais, c’est un sentiment réciproque. »

Là, Hana ouvrit les yeux de stupeur et elle observa longuement son amie. Elle avait très bien comprit ce que celle-ci voulait dire et le geste qui suivit ne fit que confirmer ses paroles : Ghalyela l’embrassa doucement, comme on embrasse une fleur qu’on aurait peur de voir faner entre ses doigts.
L’un des plus beaux jours de ma vie sera certainement celui-là…

Histoire fin : Et le temps passa pour les deux amantes, rapidement, bien trop rapidement. Bientôt, ce fut l’université où Hana travailla encore plus dure, ayant moins de temps à consacrer à Ghal jusqu’à ce jour, ce triste jour de mai, le jour le plus triste du monde pour Hana, le jour de la mort de Ghalyela.
Il faisait beau ce jour là, et les deux jeunes filles étaient sorties très tôt pour profiter des premières lueurs de l’aube. Malheureusement, c’est ce jour là aussi qu’avait choisit un alcoolique pour se saouler et pour conduire sa voiture. Il devait avoir trente grammes par paupières et roulait en zigzagant, renversant une poubelle de temps en temps. Marchant d’un pas vif sur le trottoir, les deux jeunes filles discutaient gaiement sans faire attention à ce qu’il se passait sur la route et Ghal fut la première à sentir le danger approcher. Dans un geste purement instinctif, prenant Hana de court, elle la poussa sur le côté pour la protéger, pour être la seule à être renversée par la voiture.

Ce jour là fut celui de la mort de Ghalyela.

Ce jour à fut celui de la mort d’un amour incertain.

Ce jour là fut aussi celui de la mort psychologique d’Hana.

Le choc que la perte de sa compagne lui causa fut trop grand pour elle et elle dut être internée en hôpital psychiatrique pendant un an.
Lorsqu’elle put en sortir, elle savait déjà ce qu’elle voulait faire. La mort de Ghalyela lui avait permis de comprendre plusieurs choses et elle les mettrait vite en pratique.
Elle commença par finir ses études inachevées et devint vite une brillante préfète qui ne demandait qu’à être embaucher de-ci, de-là.
La seconde fut de s’occuper de Quikky. Le petit écureuil roux, miraculeusement sauvé par Ghal lors d’une escapade nocturne peu avant sa mort, était devenu leur animal de compagnie. Et il était très attaché à Hana, n’ayant pas conscience de la mort de sa première maitresse. Il était étonnant car il était tout le temps avec elle, même au travail, sagement caché, se tenant immobile, dans l’intérieur d’une de ses vestes, même pour dormir, logé dans le creux de ses bras… Un vrai petit roi.
Lorsqu’elle fut rafler, Hana fut prise de court et même ses réflexes, d’habitude si aiguisés, n’avait pas pu l’aider. Endormie à l’aide d’un peu d’éther, pendant qu’elle se rendait à son lieu de travail, Quikky avec elle, elle s’était réveillée sur une île bizarre, seule avec pour tout objet cette « arme » bizarroïde dont elle n’avait pas comprit tout de suite l’utilité….

III. Caractéristiques

Apparence Physique : Au premier abord, Hana est une personne plutôt quelconque qui passe inaperçu dans une foule importante. Au second abord, elle vous paraître froide et distante. Il faut dire qu’elle ne fait rien pour paraître chaleureuse et aime être tirée à quatre épingles. Ainsi, bien qu’elle soit plutôt jolie, elle ne se met pas vraiment en valeur. Elle pourrait pourtant attirer plus d’un homme dans son lit assez facilement…
Une longue chevelure noir comme une nuit sans lune, possédant des reflets prune ou marines suivant le temps… Lisse, descendant jusqu’au bas des reins… Le plus souvent lâchée pour battre dans son dos au rythme de ses pas…
Deux yeux bleus comme un océan, profond et possédant mille et une variante… Des étincelles de malices pétillant souvent dans ce regard hypnotique qui vous attire dans un puits sans fond… Attention à ne pas vous y noyer… Surtout qu’elle ne fera rien pour vous sortir de son emprise naturelle, s’amusant bien trop de ce petit jeu.
De ces divers entrainements, la jeune femme à garder une fine musculature, peu apparente, mais bien réelle. Ainsi elle saura faire montre d’une force peu commune pour une personne de sa taille et de son poids…. Car il faut bien l’avouer, malgré ses formes avantageuses, quoique dans la moyenne, Hana n’est pas très épaisse, presque chétive si on enlève sa faible masse musculaire qu’elle possède. Elle est par contre très agile, très souple et elle possède des réflexes à vous saper le moral ! Et oui, ça aide d’avoir fait de la gymnastique, du judo, de l’aïkido, du kendo, du karaté, de la natation et de l’équitation… Sans oublier toutes ces autres formes de combat qu’elle a voulu tester…
Mais rassurer vous, si vous ne vous fiez pas aux apparences, vous n’aurez aucune surprise. C’est vrai quoi, qui se méfierait d’une femme d’un mètre soixante à peine qui doit faire 45 kilos tout mouillé et qui semble constamment dans la lune ?! Car il est bien vrai qu’elle ne possède pas un visage très expressif, ses sourcils étant très fins naturellement et ses lèvres étant plutôt pâle, ça n’aide pas… Surtout quand on a du mal à sourire pour un rien… Il est extrêmement difficile de la faire rire et sourire, pourtant on ne l’a jamais trouvé taciturne… Il faut juste croire que c’est son visage qui ne se prête pas au jeu… Quoi qu’elle sait très bien faire savoir qu’elle est énervée, ses yeux en amendes se plissant légèrement et ses sourcils se fronçant en un signe d’agacement…
Pour ce qui est de ces goûts vestimentaires, mis à part ses tailleurs et ses tenues de travail, on pourrait la dire gothique car elle aime tout ce qui est noire et ne possède que des robes noires et blanches dans sa penderie... Elle aime l’étrange et l’obscure mais ne possède pas les idées générales de la plupart des gothique, aussi est-il plutôt difficile de situer ses goût vestimentaires. Dans un dérivé du noir, elle porte aussi beaucoup de bleu marine pour s’accorder à ses yeux.
Caractère : Comme le veut sa profession, Hana est une personne impartiale, droite et juste. Elle ne juge pas les personnes à leurs apparences mais plutôt à leur comportement et à leurs manies. Diplomate, elle préfère discuter avant de frapper mais elle possède de très bons réflexes et il vaut mieux éviter de l’attaquer. Elle peut paraître naïve car elle ne fait pas vraiment la différence entre le bien et le mal, même à vingt-trois ans, ce qui à tendance à faire hausser plus d’un sourcil. Elle n’est pas de ces personnes qui cherchent absolument à être plus fortes que les autres ou à vous prendre de haut, au contraire, elle vous mettra sur le même pied d’égalité qu’elle-même. Elle ne juge pas non plus sur vos richesses apparentes.
Franche, presque trop, après peu de réflexion elle vous dira ce qu’elle pense, quitte à vous faire mal ou à être rejetée. Elle ne croit pas qu’il faille avoir besoin d’amis pour survivre, il y a juste besoin d’allier, elle l’a très vite compris en grandissant aussi ne penser pas vous en faire une amie même si elle vous sourit ou rigole avec vous.
On la dit froide mais c’est juste ce qu’elle paraît au premier abord car au fond c’est une personne chaleureuse avec un cœur en or et qui aime aider les autres. Elle est juste à sa manière et sa représentation de la justice ne sera pas forcément la votre. Elle à une forte tendance à reprendre les autres lorsqu’elle juge qu’il y a besoin de le faire alors ne lui en veuillez pas si elle vous coupe malencontreusement la parole.
Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds même si elle ne possède pas un caractère très fort. Elle est loin d’être faible psychologiquement et saura faire face à toutes les situations avec une indifférence qui aura vite fait de vous énerver. Elle n’est ni capricieuse ni hautaine et ne se prendra jamais pour ce qu’elle n’est pas. Elle pourra vous paraître prétentieuse mais ce n’est pas du tout ça, elle est tout simplement la seule à connaître ses capacités et ses limites et n’étant pas quelqu’un de réservé ni de modestes, elle en fait presque étalage, du moins elle saura comment réagir.
On pourrait la croire d’une intelligence moyenne mais Hana est une fille qui sait très bien cacher son jeu et qui sait se réserver, n’utilisant ses réelles capacités qu’en cas d’urgence. Tuer pour survivre ne la dérange pas même si elle ne prend pas sa vie plus importante que celle des autres.
Elle ne vous prendra jamais en pitié, préférant tout simplement jeter un regard neutre sur tout ce qui l’entoure.

IV. Autres

Rêve, Ambition : N’étant pas quelqu’un de très ambitieux, elle n’a jamais vraiment réfléchit à ce qu’elle voulait. Quand à ses rêves, sa personnalités assez mystérieuse par certains côtés les dissimules facilement …
Cauchemar, Phobies : Elle ne supporte pas les insectes et est d’une froideur sans égale avec eux. Bien évidement, elle ne s’enfuira pas devant un inoffensif papillon ou parce qu’une libellule se sera posée sur le bout de son doigt !!
Code : Vuivui

V. Facultatifs

Signes particuliers : Une longue cicatrice sur la cheville gauche, trace d’un malheureux accident.

VI. Hors Jeu

Comment avez-vous connu le forum ? : C’est Melody, donc de la même manière que sur ma première fiche
Que pensez vous du contexte du forum ?: Comme je l’ai déjà dit, j’aime le contexte *-*

Fiche Validée. Très bien écrite, dans l'ensemble, rien à redire, quelques petites fautes par-ci par-là, m'enfin ... =) Bon jeu

» *W* Iavlina...sale petite peste *W* [finie, mais avec un peu de retard...]