[ désoler du double post , mais mon message dépasser la longueur autorisé...]
[*]Histoire :
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Il faisait beau ce jour là oui très beau même ce jour ensoleillée en cette journée rien n’allait gâcher une bonne journée d’habitude. Au paisible calme de la ville de Peterhead (Angleterre) dans un quartier simple.une petite fille rousse venait d’entrer rapidement à sa maison à sa main une bouteille d’eau minérale, elle courait dans le grand hall ses pas raisonner hâtive pour voir sa mère avec cette énergie et cette innocence de jeune enfant.
Elle ouvra la porte de la chambre des parents à la volée étant trop pressé , un sourire haut sur ses lèvres douces elle s’écria : « Maman ! Voilà j’ai trouvait ton eau préférait ! ».
La petite fille s’arrêta soudainement de marcher elle voyait le portrait de s amère tant aimé allonger sur le lit. Elle s’approcha d’elle délicatement et la caressa doucement.
« Maman, je suis désoler, te fâche pas pour l’eau je me suis arrangé avec Mr Marius promis ! ».
Ses yeux s’agrandir de stupeur mêlée a une mélancolie soudaine sa mère pleurait a chaude larmes, elle ne comprenait pas pourquoi ? Avait-elle dit quelque chose ou fait mal ?
La bouteille entre ses mains lui échappa soudainement tombant en fracas dans le sol sur ses pieds elle ne sentait pas la douleur comme elle l’éprouver pour sa mère.
Sa mère se leva soudainement et s’écria : « Tout est de ta faute ! Ingrate ! Voilà que ton père est partie accuse de toi ! » .
La petite fille ne comprenait plus rien c’était comme un mauvais cauchemar, elle ne croyait pas ce que disait sa mère elle mentait c’est sûr ! Comment son père pouvait-il l’abandonnait ! Non jamais ce n’est pas vrai se persistait-elle a dire en son fort intérieur.
*Accuse de toi, accuse-toi ! Il est partie !*
La jeune rousse s’écria : « Non ! Non ! Ce n’est pas vrai il n’est pas ! Il n’est pas partie ! ».
Sa mère se redressa, les yeux encore en larmes et répliqua d’une voie neutre : « Il est partie, il ne reviendra jamais …regarde par toi-même Near tu verras ! ».
La petite rousse ne ouvrait point bouger paralysée a la juste idée de penser que son père l’avait abandonnait ! Comment pouvait-elle vivre sans lui ?! Son père ! Son idole son héro !
Elle n’écoutait pas les mots de sa mère rien ne parvenait a ses oreilles comme bloquer par la pensée, elle ne voulait pas les entendre ses mots laids, ces mots laids non jamais !
Son cœur battait telle la chamade elle s’en croyait qu’elle allait perdre connaissance. Celle-ci repris son courage courant a toute jambe espérant que ce n’était qu’un mensonge ça ne pouvait être vrai non ! Pas lui !
Ouvrant chaque porte le cœur prêt a lâcher mais rien aucune trace de son père, la peur augmenter de plus en plus a chaque porte qu’elle ouvrit une triste vérité apparaissait. Una main contre son cœur elle regardait chaque porte chaque hall, avec cette espérance, claquant chaque porte, ses pas hâtives nerveux ses yeux frénétiquement ouvert. Elle entend enfin une porte qui se referme, elle court le souffle court les palpitations qui lui donne des sensations de peur qu’elle n’avait jamais ressenti jusqu’à aujourd’hui. Elle arriva enfin ouvrant aussi vite et maladroitement la porte d’entrée, courant dans les rues, les yeux innocent, le souffle court, bousculant chaque homme femme. Rien ne pouvait l’arrêter, il fallait qu’elle le trouve !
Une silhouette se dresse soudainement enfin elle le retrouve son père .de sa corpulence imposante habillé d’un long manteau noir et chapeau assorti. Elle cour aussi vite jusqu’à se trainer elle voyait son père peu a peu disparaître dans la foule, il fallait qu’elle y arrive coute que coute. Elle tend une main fragile et nerveuse l’attrapant enfin par son manteau elle s’y accroche tellement comme si le fait d’être attaché la sécurisée. Il s’arête brusquement, Elle s’accroche a lui, la petite fille lui arrivait jusqu’aux jambes le tirant par le manteau. Les yeux en larmes elle s’écrie : « papa ! Papa ! Pourquoi ….p..r quoi ! Tu pars ! Tu na pas le droit ! Pas le droit ! » Dit-elle désespéré.
Elle tire sur son manteau s’accrochant littéralement à sa jambe les larmes chaude lui brulent la peau. Elle en peu plus criant encore : « Me laisse pas, me laisse pas …papa …me laisse pas toute seule …je ferai ce que tu voudras …me laisse pas …je t’en supplie…Pas toi ! Non ! ».
L’homme de tout son long ne bougeait point rien indifférent totalement au supplice de sa fille comme si cette dernière était une inconnue ou plus précisément un objet sans intérêt il ne disait rien muet.
L’homme l’écarta de son étreinte violemment là jetant à terre sans là regarder et commençait déjà à partir. La petite fille se retrouvant a terre stupéfaite et paralysée elle ne pu bouger ni crier tellement le fait de voir la vérité en face là faisait trembler de peur. A terre jetait comme un animal ses mains contre le sol la tête baissait son visage cachait par ses cheveux, sauf des larmes de douleur qui couler le long de son visage peinée.
*Me laisse pas, me laisse pas …me laisse pas !*
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Near après cette tragédie qui commençait juste à voir le jour, sa mère était tombé malade elle ne parlait plus c’était étrange on dirait qu’elle voulait mourir c’était l’impression de Near. Celle-ci se retrouvant toute seule dans ce monde hostile il fallait qu’elle travaille malgré son jeune âge sa mère ne pouvait point travailler. Son père avait quittait la maison ne laissant rien, se retrouvant à la charge de la famille à seulement huit ans, elle ne baissa pas les bras non elle était courageuse. Celle-ci, ce qu’elle avait juste hérité de son père un violon qu’elle ne quittait jamais. Elle se mit au travaille premièrement chez l’un de leurs voisins proche Mr Charles un homme d’une cinquantaine d’années au cœur d’or. Elle travailla chez lui comme une assistante il était le propriétaire d’une épicerie elle travailler pour lui contre un peu d’argent. C’était très peu pour subvenir aux besoins de sa mère et de son petit frère mais elle se privait pour les faire vivre. Le soir elle apprenait à jouer avec le violon chaque nuit, elle progressait toute doucement tout en continuant à travailler chez Mr Charles. Elle progressait avec ce violon, mais il fallait aussi qu’elle trouve un docteur pour essayer de soigner sa mère. Near se sentait coupable du sort de sa mère, elle pensait qu’elle était la cause de son état car sa mère ne lui adressa plus la parole après que son père partie de la maison familiale. Un an après Sa mère avait succombé au froid d’hiver, Near l’avait trouvait morte le soir quand elle était revenu de chez Mr Charles. C’était difficile pour elle de supportait toute ses épreuves. Elle avait encore perdu un être cher comment allait-elle pouvoir vivre ?
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Quoi vous dire de ma vie ? Vous qui me parcourait ? Croyait vous que je suis inhumaine ? Peut être ? Après tout, personne n’est un ange …non ?!
J’ai vécu dans un orphelinat que bien je détestais car il me manquait « ma liberté » être indépendante, vous savez cette chose qui vous laisse traverser votre chemin, tel un novice mais avec vos propres envies…oui j’aimerai l’avoir ne serais-ce qu’une fois !Donc je disais je suis restait a l’orphelinat pendant sept années de misères, je vous dis sincèrement ce que je pense ce n’est pas un film ou la fin est joyeuse c’est pire qu’une prison, oh oui, des traditions strictes catholiques au bou des doigts …mon cher moi je n’es aucune foi je l’est perdu …fort longtemps. Je n’aimais pas les repas, toujours la même chose de la soupe, mais entre nous ce n’est que presque rien de l’eau mélangé avec quelque épices vous me direz comment on peut vivre avec ?! Et accompagné&é d’un peu de pain salé …beurk.
Nettoyages, rafistolé, trié, rangé, récuré, essuyer …ah oui c’était nos habitudes de bonne.
Je dirai qu’elle souvenir qui me tenait a cœur c’était le soir quand je jouer avec mon violon, maintenant je ne fait plus des son rauque ou ceux qui vous hérissent les cheveux tellement ça sonnai faux ! Oui je ne me vante pas, mais je joue correcte pas spectaculaire mais c’est ça.
Mon jour de rêve c’est ce lui quand j’ai quittait l’orphelinat a l’âge de seize ans ! Enfin liberty quand tu nous appelle ça fais des étincelles !
Au revoir Mme Cook « notre sale directrice » je ne l’es jamais aimais …elle me faisait peur, Je vous dis elle ressemble a un extraterrestre ou une sorcière avec ses lunette à la Albus dumbeldors …
A dieu les plastiques ! : je vous explique y’avait un groupe de filles dans l’orphelinat, cinq plus précisément tous des blondinettes qui n’ont rien dans la cervelle, juste leur body to shake..À la Christina aguillera …enfin bref on se demande comment il se procure toute ses belles choses …je ne les aimais pas ça n’es rien de leur dire, surtout que leur cheerleader je lui est laissais une jolie surprise …Revenant a l’essentielle, après avoir quittait l’orphelinat je suis reparti dans mon village d’enfance, j’y suis quelque jours chez Mr Charles, travaillant pour lui pour payer mon séjour. C’est alors par hasard en lisant un journal que j’ai trouvait une annonce sur un emploi dans une école de musique ! Vous savez, j’étais vraiment heureuse, mon rêve allait se réaliser …pas dans le sens où je pourrais jouer du violon mais au moins je pourrai écouter les plus grands ! Rien que pour mon plaisir.
Je suis partie à « Origines » a l’âge de 18 ans me présentant comme candidate pour travailler comme femme de ménage c’était déjà ça sinon je me retrouvais a la rue. J’avait obtenu le poste, heureuse de pouvoir travailler là bas, j’avais des projets a faire, du moins je voulais cotisait de l’argent pour engager un détective privée afin qu’il retrouve mon frère, oui je n’es pas oublié ma promesse a Yoann. Je savais que ce la ne se réalisera jamais, même si j’aurai de l’argent …mais personne n’interdisez d’essayer !
Dans cette école je fusse bien traitais de la part du directeur un gentil homme de soixante ans près de la retraite Mr Gibs, il me rappelais Mr Charles. Du moins mon travaille consistait a nettoyait les salles des cours, la grande salle de spectacle, les quelques bureaux. Pour moi c’était amusant je le dis écoutais du Mozart et récurer les salles au même temps ! ca me faisait le plus grand plaisir ! je ne vous mens pas chers hommes et femmes, que j’ai ressentit de l’envie l’égard de ces étudient qui apprenait des symphonie populaire, comment jouer d’un violon d’un piano…mes yeux ne mente pas je me suis souvent imaginait entrain de jouer du violon dans un grand opéra, tout le monde m’écoutant attentivement en silence tel un recueil , moi , oui moi Near Saint entrai de les guider vers le monde si beau des rêves ! Juste moi …la petite Near femme de ménage qui deviens une violoniste hors paire ! Vraiment un conte de fée ! Sublime ! Mais je me fusse une idée je ne serais jamais a l’affiche d’une pancarte a mon nom où les gens viennent me réclamer …si beau si doux si loin de moi jolie rêve.J’écoutais en cachette les professeurs de musique je les admirais beaucoup surtout Karl Finns il avait un style de musique vraiment extraordinaire, il jouait a merveille d’un piano comme si celui-ci faisait partie de sa vie. On avait m qu’il faisait vivre le monde aux doigts de sa main !
Il avait beaucoup de proposition dans le monde, mais il n’accepta aucune, ce qui m’intriguer mais je n’osais pas lui demander de peur peut être.
Je fusse payé a mon dû, je faisais toujours mon travaille, et je jouer du violon dans la nuit pour me progresser ou seulement rêver éveillé, c’est alors qu’une nuit Mr Finns ma surprise , je ne vous dis pas ma situation gênante vis-à-vis de lui. Mais Mr Finns apprécia ma prestation novice, il fût même ravie de m’avoir entendu, et attendez le meilleur il me proposa de me faire des cours de violon spéciale pour moi. Je ne pouvais pas accepter je n’avais pas de quoi lui payer son dû, il me dit ceci cette phrase que je n’oublierai jamais oh oui : « Je ne veux pas de ton argent, je te donnerai des cours particulier a suivre avec moi, tu me rendras mon dû quand tu deviendras une violentiste talentueuse et que tu obtiendras ton premier contrat ».Je fusse émus et heureuse, la première personne qui croyais en moi, j’allais faire tout pour réussir oh oui !
J’ai suivi des cours en sa compagnie pendant quatre ans toujours le soir quand je finissais mon travail. J’avais beaucoup progressais, je fusse moi-même étonnais de mes exploits. Je commençais à me produire dans des cafés, puis dans des clubs tout doucement je me faisais une réputation. Petit à petit je commençais à être connu. Je travailler toujours a l’école « Origines » comme femme de ménage je pouvais quittait cette école, maintenant que j’avais assez d’argent mais je me sentais obligeait de restais. Voilà en quoi ce résume ma simple vie version à la recherche du bonheur …mais y a pas de Will Smith …ni un Happy end.
Sujet: Near Saint "Alice" 
Mar 25 Mar - 22:40
