Bloody Wings
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Bloody Wings

Lorsque la chute commence, toute tentative est vaine. Il faut se résigner à subir le pire.
 
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Lili
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Lili


Féminin
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MessageSujet: .:. Lilith >> (( Fiche Exemple ))   .:. Lilith >> (( Fiche Exemple )) Icon_minitimeDim 3 Fév - 21:30

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" Child Of Evil "

free music


I. Carte d'Identité

  • Nom : Vänster
  • Prénom : Lilith, mais elle préfère Lili.
  • Emploi : Lycéenne
  • Rang : Personnage spécial
  • Arme : Lili se défend au poignard, mais dans le besoin, elle possède un revolver.
  • Âge : 18 ans.

    • Date de naissance : 11 juillet.

II. Biographie

  • Nationalité : Suédoise, bien qu'on la considère aussi comme française, par sa mère.
  • Famille : Son père ? Celui dont le nom fait frissonner et excite à la fois des millions des personnes : Erik Vänster, l'homme le plus diabolique et calculateur de son époque. Sa mère, Neila, aussi peu connue que son mari est célèbre.
  • Histoire :
    Certains des Joueurs de Bloody Wings ont tendance à penser en me voyant : « Pauvre créature, si jeune, si belle, et déjà embarquée dans cette galère dont personne ne connaît la source. » Ils ont tort, sur tous les points. Tout d'abord, je ne serais sans doute jamais la « pauvre fille » , la victime que les gens s'acharnent à voir en moi. Si je n'avais pas eu une enfance particulière - et surtout un père particulier - je n'aurais pas été là, et je m'en serais lavé les mains. Ensuite, ils sont sans doute bien plus pauvres que moi. Eux ne savent à vrai dire rien de ce qui leur arrive. Ils n'ont aucun contact avec le monde extérieur, ne connaissent même pas l'existence des milliers de caméras cachées dans l'île. J'ai largement cet avantage sur eux : je suis consciente de ce qui m'entoure, et surtout de ce qui m'arrive. Et enfin, ils ont tort de penser quelque chose de moi. Je suis tout, sauf ce qu'on pense de moi.


    *


    « C'est fou. Tu ne me ressemble pas, tu ne ressemble pas à ton père. Tu vois tes yeux bleus, personne ne les a jamais eus dans la famille. »


    La gamine que je suis regarde sa mère. Mes grands yeux ronds roulent comme des billes. Intérieurement, je me félicite de ne pas ressembler à mon père. Je ne l'aime pas. Je ne l'ai jamais aimé. Sans doute parce qu'il dégage ce petit quelque chose envers moi, ce petit quelque chose qui me terrifie. A l'inverse, maman est gentille avec moi. Elle vient me voir tous les soirs et me parle de beaucoup de choses. Tout ce que papa ne veut pas me dire. Lui ne me parle pas. C'est à peine s'il me regarde, à table. Maman lui est soumise. Il me fait peur, parfois.

    « Moi j'aimerais bien te ressembler. »


    Je suis en admiration devant ma mère. Elle et son teint mat, ses grands yeux noirs, ses cheveux lisses, brillants, couleur de jais, parfaits. Ils lui tombent dans le dos telle une longue cascade calme et étincelante. Elle est encore jeune. Son corps est fin, aux formes parfaites. Ma mère sourit à mes propos. Elle me répète encore une fois que, du haut de mes 7 ans, je suis très mignonne. Moi je trouve mes cheveux trop blonds, trop bouclés, mes yeux trop bleus, ma peau trop blanche. J'ai toujours lu le mépris dans les yeux de mon père lorsqu'il en vient par hasard à poser les yeux sur moi. J'en finirai presque par croire qu'il a raison.


    *



    Je crois que papa n'a jamais voulu que je naisse, en fin de compte. Maman m'a dit ça hier, avec de la peine. Il voulait un garçon. Il disait qu'il avait des « grands projets d'avenir pour lui-même et pour le monde » , qu'il voulait un héritier pour l'aider à la tâche. Maintenant que je sais cela, j'ai cruellement honte de moi-même. J'ai 11 ans, et je ne sais rien de ce que je devrais savoir si j'avais été un garçon. D'ailleurs, tout en moi semble commencer à affirmer ma féminité. Maman dis que je grandis, que je commence à prendre des formes. Je devrais en être heureuse, mais je les cache. Elles me font peur. Surtout quand je suis face à papa. J'ai l'impression qu'elles les dégoûtent.


    *


    « Bien, Lilith, tu me feras le plaisir de m'apprendre tout le langage HTML d'ici la semaine prochaine. »


    J'acquiesce d'un signe de tête sans rien ajouter de plus, et je me retire dans ma chambre. Une fois la porte refermée, je saisis ma tête entre mes deux mains et tire sur mes cheveux. Mon crâne me fait un mal de chien. Cela fait presque une semaine que je ne dors plus. A cause de cette foutue décision, merde, je n'aurais jamais du choisir cette voie là. Je viens de comprendre, mais trop tard, qu'à présent je devrais suivre la voie de mon père, j'ai donné mon accord, il est trop tard pour moi. J'aurais du y réfléchir à deux fois. Mais, moi et mon stupide orgueil, nous avons brûlé les étapes pour finir ici, enfermée dans un bureau à longueur de journée à assimiler des données.

    Je ne vais plus au collège. Mon père a certifié qu'il allait « s'occuper de mon éducation ». Personne n'a trop protesté. C'est un homme de sciences, tout le monde pense qu'il va très bien s'acquitter de cette tâche. D'ailleurs, je ne pense pas que quelqu'un s'y intéresse réellement. Tant qu'il signe les papiers, tout leur va. Tout est une histoire de papiers et de données, dans ce monde de merde. Je commence tout juste à le comprendre. Ca ne fait pas plus d'une semaine que j'ai demandé à mon père, que je l'ai supplié de faire comme si j'étais un garçon. Il a certainement perçu ma bonne volonté et a accepté. PLus le temps passe plus ses idées me semblent louche. Il veut m'apprendre le langage HTML, il veut m'apprendre à manier un système informatique à la perfection. Il paraît que demain, j'aurais des cours de maniement d'armes. Putain. Dans quoi est-ce que je me suis embarquée.



    *



    Je n'en peux plus. Mais mon père ne semble pas voir ma fatigue mentale. Ca fait 4 ans que je m'entête à apprendre ses putain de trucs, que je l'aide, que je passe mes nuits à chercher à en savoir davantage. Et pas un murmure d'encouragement, pas un seul « C'est bien, tu y arriveras. » Maman a cessé depuis longtemps d'essayer le raisonner. Elle ne peut rien contre lui. Et moi non plus. Je ne saurai l'expliquer. Sa réponse typique est : « Elle a 15 ans maintenant, elle peut faire comme bon lui semble ! » Mais non, je ne le peux pas. Et il le sait très bien.

    Son mépris pour moi semble grandir de jour en jour. Je dois l'appeler monsieur, ne pas en dire plus que ce qu'il y a à dire, et surtout, surtout, bien apprendre. Une de ses "leçons" non sues équivaut à un châtiment. Ca ne m'est encore jamais arrivé et j'espère que ça n'arrivera jamais. Je lis une cruauté farouche dans ses yeux lorsqu'il dit ça. Et malgré la façon dont j'ai réussi à me fermer hermétiquement à toute sensation, cela me fait toujours frissonner, au fond de moi-même. Autant continuer à suivre ses putain de cours, l'assister dans ses idées, et un jour, un jour je serai enfin libre et je partirai loin. Mais je ne sais toujours pas ce qu'il mijote à vrai dire.

    Comme toujours je le rejoins pour une leçon de programmation. Je crois que c'est le domaine que je maîtrise le mieux de tout ce qu'il m'a appris. Avec la maîtrise du poignard et du revolver, aussi, même si ça me répugne de le dire. Je m'assied devant mon poste, et ouvre la fenêtre de programmation.


    « Bien. Aujourd'hui est un jour particulier, Lilith. Je vais te montrer quelque chose que tu n'aurais pas à voir. Tâche d'être attentive et de te montrer habile. »


    J'acquiesce machinalement, mais cette fois, je sens qu'il va y avoir quelque chose d'intéressant. Il me donne ensuite des pages entières de consignes. J'ai beau les relire, je ne parviens pas à comprendre où il veut en venir. Mais je m'exécute, tentant d'être efficace. Je n'ai jamais vu des algorithmes aussi complexes, et suis obligée de trafiquer un peu le langage de programmation que j'utilise habituellement pour parvenir à mes fins. Il me regarde travailler, pensivement, retoucher son projet - car ce que je fais n'est que retouche d'un programme infiniment plus complexe, j'en suis consciente - , et me corrige vaguement çà et là. Quelques heures après, je finis par venir à bout des feuilles. Il lance le programme. Et le prodige se réalise.

    Une sorte de créature semble déployer ses ailes sur l'écran de l'ordinateur. Puis il y a un bip et l'écran s'éteint. Un instant, je crois que j'ai fait une erreur et la panique s'empare de moi. Mais à peine une seconde plus tard, je comprend que ce n'est pas le cas. Je sens cette chose en moi. Elle se sert de mon corps et déjoue tous ses principes pour devenir matérielle. C'est une sensation impossible à décrire. Un mal fulgurant me prend à la tête. Je ne me sens plus maîtresse de moi-même, comme éteinte, déconnectée. Et cette chose grandit, je sais que si elle le voulait, elle pourrait resserrer son étreinte et m'étouffer totalement. Elle semble me tenir haletante quelques instants, puis fini par glisser lentement et s'évaporer, partir. Je reprends mes esprits et me retourne. La créature est là. Pas vraiment matérielle. Elle ressemble à un hologramme. Elle n'a pas de formes distinctes.

    J'ai 15 ans, et je ne le sais pas encore, mais devant moi se tient le premier prototype de Virtuel.



    *



    A partir de là, tout s’accélère, si mes souvenirs sont exacts. J’accompagne désormais mon père pour de nombreux travaux, informatiques ou pas, et il semble être encore plus acharné à me bourrer le crâne de tout son savoir. J’ai de plus en plus de mal à tout assimiler, mais je tiens le coup. C’est à 16 ans que je fais ma première gaffe. Dans la fatigue et la précipitation, je me couche un soir sans apprendre vraiment toutes les choses qu’il m’a demandées hier. Le lendemain, il s’en aperçoit très rapidement. Cela se solde tout d’abord par une solide claque. Ma tête bascule en arrière, tant le coup est fort. Jamais je n’ai eu autant de peine à cacher mes larmes que ce jour là. Elles semblent me venir aux yeux naturellement, je me sens tout d’un coup appauvrie, immensément vulnérable. J’ai toutes les peines du monde à me retenir de pleurer, mais sans doute voit-il tout de même mes yeux s’humidifier.

    « Ne te rend jamais, jamais, tu m’entends ! Ne refais plus jamais une telle sottise ! »



    Je le déteste. Et je sens bien que mon sentiment est réciproque, plus que jamais. Mais jamais, au grand jamais, je n’aurais pu le croire assez répugnant pour oser ce qu’il me fit ensuite.


    *



    Je frissonne. La nuit est fraîche pour un soir d’été, et je ne peux m’empêcher de penser qu’en temps normal je ne devrais pas être là. Il est rare que j’aie le droit à un peu de temps libre. Mon père ne me l’autorise qu’exceptionnellement. Mon père. Une nuance de dégoût me vient quand j’en arrive à prononcer son nom. Je n’arrive pas à oublier ce jour où il a commis l’irréparable. Après ça, inutile même de songer à le pardonner un jour. D’autant que j’ai commencé à comprendre son projet.

    J’ai 17 ans maintenant. Deux ans se sont écoulés depuis le jour où il m’a fait mettre le point final à la programmation de cette chose horrible, qui s’est infiltrée en moi comme un parasite redoutable et mortel. Je sais qu’il n’est pas suffisamment doué en programmation pour en créer d’autres, et des meilleurs. Mais l’idée semble lui avoir plu. Cela fait un mois maintenant qu’il a invité les 20 plus grands programmateurs, informaticiens et concepteurs du monde afin qu’ils l’aident à finaliser son projet. Il veut en créer d’autres. Je ne sais pas dans quel but, mais il en veut d’autres.



    *



    Tout le monde en parle. Il n’y a pas un journal, pas une émission où l’on ne parle pas de ‘Bloody Wings’. L’envie de vomir me prend dès que j’entend ce nom. Cela fait des années que mon père pense à ça, j’en suis certaine à présent. Tout ce qu’il m’a fait faire n’avait que ce but unique. Et dire que je l’ai aidé. J’ai honte de moi rien qu’à y penser. Je ne sais combien de longues années d'assistance, pour en arriver là. Ma propre personne me répugne.

    Le plus choquant reste l'avis général du "public". On croirait que ça les excite. Cela ne les choque nullement, et on annonce déjà une audience crevant les plafonds, du jamais vu. Selon les sondages, 82% de la population trouverait ça choquant. Pourtant je sais bien qu'ils se rueront sur leur poste de télévision. Il en a toujours été ainsi avec le jeu des apparences. En tous les cas, le jeu commence demain.

    Je serai des leurs.


Dernière édition par Lili le Ven 7 Mar - 23:18, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: .:. Lilith >> (( Fiche Exemple ))   .:. Lilith >> (( Fiche Exemple )) Icon_minitimeMar 5 Fév - 17:00

III. Caractéristiques

  • Apparence Physique :
    Lili n'a pas le genre d'apparences qui marquent. Sa silhouette se fond aux autres aussi bien que n'importe qui saurait le faire. Discrète, banale ? En tous les cas, presque fluide. Elle sait se rendre comme trensparente lorsque ça l'arrange. Néanmoins, on ne passera pas sans remarquer une taille svelte, une allure fine et élancée et une agilité naturelle, sa démarche est légère et vive, s'alliant de façon exquise à sa silhouette de poupée.

    Poupée que l'on retrouve d'ailleurs en bien d'autres aspects, si l'on pend le temps de regarder plus attentivement son visage. Aperçue rapidement ou pas, la première chose qui marque, ce sont ses yeux. Deux immenses yeux qui renvoient à la couleur du saphir, comme deux pierres incrustées dans son visage, et qui lui donnent l'allure ravissante d'une de ces charmantes petites choses dont s'entichent les fillettes. Un visage ovale, fin et droit, se terminant en pointe par un petit menton aïgu. Visage lui-même surmonté par une chevelure - peut-on encore appeler cela une chevelure, là est toute la question - couleur miel aux reflets roux. Cheveux - crinière ? - qu'elle a l'habitude de nouer à la va-vite en deux espèces couettes, ce qui n'empêche néanmoins pas quelques mèches rebelles d'aller couler devant son front. Ce qui ne la dérange pas outre mesure, par ailleurs. A vrai dire, elle aime ce côté négligé qu'elle se donne involontairement parfois.

    Sur ce visage étonnamment bien dessiné s'ajoute une petite bouche appelant aux baisers, aux lèvres couleur pétale, et qui pour continuer dans les métaphores, semblant tout juste s'éveiller, donnant l'impression d'un bouton de rose encore à peine éclos sur sa peau d'un blanc laiteux. En somme, un visage harmonieux et tout en finesse, auquel s'ajoute un regard tranchant et farouche, tout pour lui donner l'allure d'une poupée, mais pas n'importe laquelle.

    Niveau vestimentaire, Lili n'est pas vraiment difficile. Bien qu'elle affirme souvent son penchant pour les chemises et les cravates. Autrement, elle préfère la simplicité. Majoritairement jupe courte , ou à l'inverse en pantalon large, elle préfèrera les vêtements sobres et uniformes, tant qu'ils lui vont bien. Ses couleurs dominantes restent néanmoins le bleu, le blanc, le noir, le rouge, voire parfois le gris. Elle n'aime pas non plus s'encombrer d'accessoires inutiles, bien que comme beaucoup de perosnnes de son âge elle accorde une certaine valeur a un pendentif en argent représentant une clef accroché à son cou, et qu'elle ne quitte jamais.

  • Caractère : Lili est un personnage complexe, autant en elle que pour les autres, et de par ce fait, difficile à décrire. On note chez elle une volonté farouche, première dominante chez elle. Par volonté farouche, j'entend qu'elle est capable de mettre tout son coeur à atteindre son but, lorsqu'elle en a un, cela s'entend. On associe à cette volonté une notion de courage, que certains qualifieraient plutôt d'inconscience. Encore une fois, quand elle a un but, elle fait tout pour aller jusqu'au bout, et n'hésite donc pas à sauter dans les premiers pièges ou obstacles venus, même en en étant consciente. Il faut néanmoins qu'elle attache une réelle importance à la personne où au projet pour qu'elle en vienne jusque là .

    Lili adopte toujours un air négligé, qu'on lui repproche bien souvent, mais cela ne l'affecte pas outre mesure. Elle n'est pas spécialement rancunière, ni agressive, simplement longue à accorder sa confiance à quelqu'un, si l'on parle de relations. Des relations, d'ailleurs, elle n'en a pas beaucoup. La solitude est un sentiment qui ne la touche pas. Elle s'estime très bien capable d'agir et de vivre par elle-même, et uniquement par elle-même. De par ce fait, pn considère en effet qu'elle a parfois un peu tendance à être éloignée des autres. Mais elle n'y réfléchit à vrai dire pas plus que cela. Sa conversation peut être très riche tout comme creuse comme un arbre mort, tout dépend de la situation et de la personne à qui elle parle. Malgré tout elle est d'une extrême franchise, habitée à dire ce qu'elle pense depuis toujours, ce qui lui évite certaines situations embarassantes, ou au contaire, en génère.

    Envers les autres, encore une fois, tout dépend de la personne. Car mine de rien, elle est tout à fait capable de s'attacher, et même très fortement, à une personne qu'elle place en haute estime. A ce moment là elle peut parler des heures avec elle, de tout et de rien, bien que l'émission Bloody Wings ne soit pas l'endroit rêvé pour ça. Elle ne vouvoie personne, c'est dans ses habitudes. Elle n'aime pas se sentir plus bas placée que son interlocuteur. Non pas qu'elle leur manque de respect ou qu'elle soit incapable d'admiration, bien au contraire.


IV. Autres

  • Rêve, Ambition : Sortir de l'île, si possible en un seul morceau. Se venger de son père ? Elle ne sait pas encore comment.

  • Cauchemar, Phobies : Être blessée mentalement, bien qu'elle ne l'aie jamais été. Que son père aie une totale emprise sur elle

  • Code : Vous pouvez toujours vous gratter

V. Facultatifs

  • Signes particuliers : Tout dépend ce que vous appelez des signes particuliers.

VI. Hors Jeu

  • Comment avez-vous connu le forum ? : Benh comment dire ... C'est moi qui l'ai créé, en fait .
  • Que pensez vous de l'intrigue du forum ?: Supeeeeeeerbe, magnifique, ça déchire ^_____^ Sisi, vraiment ! *meurt*

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